LA MODE TRAHIE PAR LES CHIENS

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Un monde géopolitique en plein chaos multipolaire où les règles d’autrefois établies sont de plus en plus contestées, voire bafouées. L’affaiblissement des institutions internationales, notamment l’O.N.U. et l’érosion des valeurs, qui structuraient les relations entre États, ont laissé place à une ère de rapports de force bruts, où la loi du plus fort semble prévaloir.

Regarder, par analogie, les grandes maisons de couture, auparavant, gardiennes du bon goût et des codes établis, perdent leur influence. Les tendances s’entrechoquent sans logique, les créateurs se copient sans scrupules, et les podiums deviennent une cacophonie de styles où plus rien ne semble structuré. La haute couture en déclin : prestigieuse sur le papier, mais dépassée par une nouvelle vague, où les oligarques de la mode imposent leur loi, pour le profit de quelques-uns qui pensent que c’est en lisant qu’on devient liseron.

Autrefois, l’ordre, sous l’égide du grand Jacques, fonctionnait comme une collection bien pensée, avec des règles précises. Mais le patchwork incohérent du plus mauvais économiste de France, où l’anarchie règne, et où même les règles sont remises en question, même « l’abus du lit n’est plus un travers sain ».

Peut-être une nouvelle tendance émergera pour structurer cet immense chaos, mais j’en doute ! Nous basculons dans une mode de l’improvisation perpétuelle, où chacun ne répond qu’à ses propres codes. Une Chambre Stomacal de la mode « qui panse  » que ce conclave privé où le seigneur et ses oligarques florentins de Tolède jouent le rôle des grandes puissances économiques et politiques, façonnant l’industrie à leur seul profit, et en plus, il faut leur dire merci. Un comble  !

FM