DIOR AMAZON PRIME

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Diane est la déesse de la chasse, de la guerre et de la nuit dans la mythologie romaine, assimilée à « Artémis » dans la mythologie grecque. Artémis, tiens tiens drôle non ! Fille de Jupiter et sœur jumelle d’Apollon, elle souhaite rester vierge à perpétuité, et quand la beauté fait son lit, sublime, toujours seule, elle bâtit sa renommée à côté des hommes, mais étrangement à l’écart aussi.

Celui qui invente, au contraire de celui qui découvre, ajoute aux choses, et la Maria Chiuri, pour une fois, met un zeste de féminité sans rien inventer. Amazone chasseresse pour mettre en plein dans le mille, mais chez le seigneur, c’est dans le mille milliards de « bollard ».

Damier Vuitton chez Dior pour synergie des marques et un jeu de lumière black and white sans le petit Pharrells, mais aussi « chair » très cher, et en clin d’œil, une petite marinière bretonne pour faire enrager le prince de Venise. Blouson de « motarde » de Dijon sur les hanches, la femme se veut masculine et féminine à la fois. Me voilà donc en voyage vers mes pensées de feu dans le gravier noir du frisson. Au-delà des mots à travers lesquels j’ai vu marcher des jambes qui s’allongeaient jusqu’au Pic de Dante, et combien j’ai poussé loin dans les profondeurs d’un rêve pour écrire ces mots.

Peut-être que la chasseresse dans le cube de cristal au milieu du podium m’a touchée au cœur de l’une de ces flèches empoisonnées de brouillard, qui fait naitre en moi un nouveau souffle « à quelque chose, Malher est bon. » Je n’aurai de cesse de donner du fil à retordre aux couturiers, car avec eux j’aurai toujours à en découdre. Ainsi, « la bêtise à ses réseaux que les réseaux ignorent. »

FM