HEARST PARIS 2025

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D’origine cubaine, cette étoile montante, « de la mode, qui ne progresse jamais », propose un rien que deux, tu l’auras. La créatrice uruguayenne-américaine, dont les collections sont souvent inspirées par des héroïnes artistiques féminines, (il faut bien trouver l’inspiration quelque part) ! Le comble finalement pour un journaliste, c’est d’être à « l’article » de la mort, mais je me fais violence quand même pour écrire quelques feuillets sur la muse de Sainte Hearst qui porte un estimable cadavre : ses anciennes collections pour Chloé.

Gabriela agit sur moi comme un remède à l’amour et même avec du viagra, chez moi, la raison et la logique reprennent toujours le dessus. Au mot « Hearst », rien ne durcit, le néant plus sidérant que sidéral. Cette baba cool nostalgique des années 70, la plus fortunée des couturières, c’est le bluff sur le moi, égocentrique par sa misérable vision qui vous pousse à une ridicule plongée dans la couture du prêt à « pasticher » et qui, à l’outrance, de venir à Paris pour un « show de nippe »  pour l’histoire d’un eunuque sans queue ni tête, mais ne dites pas : « Un homme hors pair. » Dites : « Un eunuque. »

FM