DIMITRA PETSA

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Une expérimentation du faux et une inélégance distincte se rapprochant du néant de la créativité. Une égocentrique qui, par sa misérable vision, rafistole les vêtements avec le fils d’Ariane, mythe de Thésée et du Minotaure. La créatrice grecque, Dimitra Petsa, explore la relation éco-féministe entre les femmes et l’eau, en oubliant le feu de la Grèce, c’est ballot ! Pour finalement produire cette haine sournoise et basse des âmes qui vous pousse au ridicule du geste couture, et ayant l’outrance de s’appeler « couturière ». Des mannequins « femelles » enragés, non par nature, mais par entraînement, sorte de vocifératrice professionnelle où son verbiage couture la conduit directement aux latrines de la popularité.

Une marque qui ronronne comme un moteur grec produit sur place, vous voyez l’image, qui ne manquera pas de faire sensation avec cette collection « d’un sein en hiver  », et qui attire toujours les patrons « sex à tégénaire » des maisons pendant les « Fashion Weeks ».
Malheureusement, la mode est à l’image de ces égéries : lourdes, vulgaires et incultes. Et pour les robes de mariée, qui la font vivre, Héra était célébrée partout en Grèce comme la déesse du mariage, Déesse éminemment fidèle et qui était censée garantir et protéger la fidélité entre époux. Si elle était une déesse du mariage, c’était du côté féminin-féminin, et, en effet, pour une collection homme, c’est plutôt féminin !
FM