MARINE SERRE PARIS 2024
Les jours se ressemblent et j’ai l’impression de ne jamais être à la hauteur du voyage surréaliste que l’on m’impose ! Marina Serre, pauvre diablesse, qui, comme tant d’autres, se verra confronter à la pression d’un groupe et à des demandes toujours plus importantes qu’elle ne pourra remplir que des détritus de tissus des autres, mais comme disait Jean Paul Sarthe : « L’enfer, c’est les autres ».
Des modèles recopiés et réalisés par autrui, avec des tissus commandés et jamais utilisés dans les grandes maisons, que les écologistes de pacotille du groupe du seigneur ne veulent même pas utiliser pour déféquer. J’ai honte pour la couture qui juge la couleur en aveugle, et écoute la musique en sourd.
Continuez à adouber ces designers par ces choix ridicules feront de l’hexagone, à terme, un pays à la ramasse pour les 30 années à venir, c’est une hérésie ! Couturière sortie d’une mutation génétique de la cuisse de Grumler et du Marrant réunis à Tolède, savant mélange de l’inexorable déconfiture, de la profession, les gens de mode comprendront.
FM