MARC JACOB LA CHOUCROUTE

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Ersatz de « John Galliano », un mélange de Pierre Baltringue par Olivier Rousteing, comme un avortement sous des chaises gigantesques, pour un sans-gêne, mais de la création. Je ne vois seulement que la gêne de ne pas avoir la décence de nous présenter une mode qui soit au-dessus de la caricature des années 1970.

Voici la mode que les nouveaux riches n’achètent jamais, et pour que vous puissiez, non pas briller dans les arcanes de la couture, mais parce que Jacob a seulement envie de changer l’opinion de la Wintour, plus vraiment en « Vogue », mais qui a fait sa carrière sous les chaises et sous les bureaux. Ce show n’a pas véritablement dû la dépayser.

Vous êtes comme cette place Rouge où se dressent d’un côté le mausolée de Lénine, vestige de la révolution bolchévique et de l’autre la boutique Vuitton ; une dichotomie qui se fait couture dans un abrutissement du passé sans l’histoire, mélangé au présent sans avenir.

Entre un passé momifié et l’identité de la mode « bling bling » d’aujourd’hui, Marc Jacob s’est forgé des poupées mannequins à la Barbie, c’est la mode ! Et où l’appétit débordant de ces poupées russes et leurs obus ont attiré ces nouveaux riches fortunés que l’on n’appelle pas Oligarques (ici à New York), mais « Holly Marc ». Ces derniers ont longtemps été cantonnés à un stéréotype de la mode d’autrefois qui, aujourd’hui, veulent de la mode qui se voit et qui les font passer pour des « Ridicules ». Bref, la « raie du culte » du monde, bienvenue dans la Fashion Week de Wintour et Consorts.

FM

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