LA MODE UN CONTE DE FAIT

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Personne ne vous dira maintenant que la maison « Jacques Muse » est une supercherie ! Car quand la profession se trompe sur un mignon, elle ne revient jamais sur une idée qu’elle a elle-même forgée à grand coup de réflexions de benêt. Le K par K Simon Porte et fenêtre sera donc le plus grand tour de passe passe du monde de la codycross, un génie de la création sans génie et sans qualité, non plus, décryptage d’une manipulation d’un infatigable barbouilleur.

Après avoir loupé le prix LVMH, où il s’était présenté, Karl Lagerfeld qui l’avait trouvé mignon, a usé de toute son influence pour qu’il ait quand même un prix exceptionnel, voyant ses tentatives avec Battistoni échouer. Prix remis par Delphine La Dame du châtelet Free, fille du seigneur, et pour alimenter cette mystification, une aide financière, car on ne sait jamais ! « Just in case ». Les Magazines de mode, d’une seule voix, après l’avoir descendu en 2015 pour une collection zéro piquée, feront un virage à 180 degrés pour lancer un créateur factice au doux parfum de lavande, car humant le sponsoring à venir, pour plaire au seigneur sera évidement un bon calcul vénal.

Fourberies d’ex-copains attestant que les gens de la mode, pour la plupart, ne connaissent pas grand chose à ce métier, mais surtout, pour adouber un couturier de plus à l’image de Rous-tintin et valider une fois pour toute qu’il ne faut pas pour être créateur dans la mode avoir fait des études pour devenir un St Laurent.

On vous vendra la Provence, avec la mamie si sympathique et son accent de cagole, pour un mini sac chiquito piqué à des italiens, avec pour seul ustensile à mettre dedans une carte bleue, car c’est bien de cela dont on parle, ici pas de passion pour ce métier, seulement pour l’argent.

L’histoire de Jacques Muse est celle de la mode et de tout son spectre, celle des faux semblants, celle des manipulations, celle des puceaux de la pensée qui jugent en aveugle et écoutent en sourd d’un travail qu’ils ne connaissent pas. La mode et ses affres de dégénérés, toujours plus nombreux, qui, comme des apostats sectaires, photographient pour relayer au monde entier des nunuches lobotomisées, sans expertise aucune et pour des robes toujours plus importables et toujours plus invendables à des crétins abscons de leurs sens cognitifs.

Et pendant ce temps-là, les vrais créateurs sont dans les maisons à faire du modélisme et des toiles pour les autres, et à essayer de rendre l’image d’un modeux factice plus supportable sur leur table de travail, et ainsi céder pour leur plus grand désespoir et pour une misère leur dur besogne. Bienvenue dans le monde merveilleux de la mode.

FM

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