L’OR NOIR DE NAPLES
Il fait la taille d’un terrain de foot le fameux yacht de Bernard, et il s’est fait recaler, comme lui, à Polytechnique, en son temps, par la capitainerie. Moi, j’appelle cela être mené en bateau. Bloqué dans la baie de Naples, l’homme de Tolède, en bon conseiller, lui aurait dit : « venez à Tolède pour vous parquer, il y a la mer de sable » ! Voici donc la petite musique du « Symphony », 101 mètres de long et qui, en 1 mois, a consommé 470 000 litres de diesel. Pauvre Bernard, on lui avait déjà supprimé son avion privé, maintenant, c’est son yacht. A quoi sert véritablement d’être plus riche que riche et ne pas pouvoir finir ses vacances avec Paul Desmarais, un buvard qui ne travaille qu’en sous-main.
The Show « Musk » go on pour un coup de barre à droite avec son copain Bolloré, il est temps de virer Micron pour pouvoir polluer la planète tranquillement, et repartir sur son île paradisiaque avec Eiréné, la fille de Zeus et de Thémis. La famille prépare ses bagages « Vuitton » bien sûr pour voguer non pas à « Rabat », mais avec joie en espérant que la décoration intérieure ne soit pas réalisée par la Chiuri car on pourrait confondre avec les Souks de Bab Ghmat, de quoi se suicider après dix jours de vacances.
Après être passé sur les ponts de Paris, voici le bateau du Seigneur des Arnault qui passe sous les ponts et les radars des écologistes de Péta pour la fourrure du Petit Pharrell et le diesel du concours de bites des plus riches que riche et de leur Yacht, car comme chacun sait sous « le pont « Moribond » coule la Seine.
FM