SAINT SERNAIN LA FLAMME KUKUCHE

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On aurait pu dire à poil laineux, mais dans le cas de de Saint « Sert-nain », c’était plutôt à poil tout court. Eureka ! « j’ai trouvé » que je traduit pour les Bimbos aussi « cône » q’une ficelle de string. Et bien, circulez, il n’y a rien à voir dans la cour du Musée des Archives Nationales, et pourtant, il y a tellement à lire. Quand j’écris, je pèse mes mots, mais quand je vois cela les mots me pèsent. Voici donc le couturier plat, par excellence, qui juge la beauté au même titre qu’un morpion tombé par hasard dans l’Olympe jugerait de la beauté du cul d’une déesse .

Une couture proche des poèmes des bas fonds de Schaerbeek et de Saint-Josse, une couture jetée dans des malédictions magnétiques au milieu du labeur et des travailleurs du texte. Une sirène au loin vient me réveiller d’un son strident ; ce sont les embouteillages parisiens que l’on devine au loin, et qui viennent comme des coups de semonce m’achever du déplaisir du parcours du combattant pour arriver jusque-là et venir voir un spectacle qui n’en n’est pas un.

Voici un grand et audacieux gastéropode qui s’élève avec éclat dans la nuit noire de la réussite en chantant la brabançonne, féroce comme un chien enragé sans dent et assez rusé pour promouvoir sa mouture comme couture de la Fashion Week de Paris. Un comble !

FM

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