SALVADIOR DÉLIT

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D’abord les jupes, maintenant les peintures : Dior fait face à de nouvelles accusations de copyrights en Chine. Après le récent scandale du plagiat des jupes traditionnelles chinoises à tête de cheval, auquel le tycoon français du luxe n’a pas encore publié de réponse officielle ou peut-être une réponse aux chèques restaurant. Cette dernière polémique meurtrit davantage l’image de la maison du maître de Granville sur le continent de l’empire du milieu. Voilà donc le design d’une bipolaire qui, en langage maison, présente cette bipolarité en une « maniaco dépressive branchée ».

Le hashtag #NewDiorProductsAllegedlyCopyingChineseFlowerandBirdPatterns compte actuellement 3,5 millions de vues sur Weibo. Mais, les utilisateurs en colère se précipitent aussi pour commenter les derniers posts de Dior sur la plateforme Instagram, demandant à la marque de s’excuser.

En juillet l’année dernière, une centaine d’étudiants Chinois ont manifesté devant la boutique Dior de Paris prenant l’Avenue Montaigne pour la place Tian’anmen qui veut dire (place de la porte de la Paix céleste), un comble ! Visiblement l’autocrate fait l’autruche et tente de passer entre les mailles de la trame. Déjà, avec son avion et ses sauts de puce au-dessus de Londres qui faisaient polémique, vous pourrez découvrir prochainement dans la chronique de Bridgermode les frasques de la Chiuri et de sa petite communauté, qui pense que l’idée de l’avenir est plus féconde que l’avenir elle-même. Mais dans quel monde Vuitton !!!

FM

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