VINGT MILIEUX SOUS LE MOHAIR
Je suis peut-être un idéaliste sans contrainte, qui me donne une bouffée d’oxygène dans un air du temps assez vicié par le favoritisme, dirigé par des obsessionnels du sexe. Et, non loin de celui-ci, leur nombrilisme hypertrophié celui des réseaux sociaux et du diktat de l’offense qui en résulte. J’essaye de briser tous les tabous, à tort peut-être, dans un monde de la mode et ses turpitudes, la même qui me renie, comme si j’étais, pour elle, une angoisse face à la dérive de leur schizophrénie sociale.
Oui, c’est vrai, je flingue à gogo et dézingue à 360 degrés l’asile de fous, qu’est cette profession qui juge en aveugle, tout et n’importe quoi. Mais, surtout ce monde « d’Instagra-Muses », cet absurdistan où la mise en scène obscène de demi-mondaine comme faire-valoir avec leur cohorte de crétins qui les accompagnent de mignons délirant, qui abusent de la sodomie morale et pas que…
Et, par dessus une autre couche, vient se sceller une autre race de crétins « Le Wokisme » pour me faire grincer de colère, pour un tableau écrasant du prêt-à-penser, avec une touche de narcissisme vulgaire. Ils possèdent désormais l’outil technologique ultime le SmartPhone « qui n’a rien de smart » mais qui les nourrit à foison de mensonges et d’imbécilité, comme si Artémis d’Ephèse, déesse de la fertilité, nourrirait l’ensemble de l’humanité d’une souche originelle de la connerie.
A vous, je vous remercie pour cette balle que vous avez glissée dans ma boîte aux lettres. Si cela, à pour but de me faire peur, je vous le dis tout de go, il n’en n’a rien été, car je considère que cette émotion primitive, qui vous assaille, ne répond à aucun argument logique de mes neurones. Je vous laisse ainsi à vos turpitudes, vous qui cherchez à élaguer les rayons du soleil.
FM