LVMH LOEWE ET LA VULGARITÉ
La pire des décadences n’est point celle qui naît d’un excès de raffinement dans une élite, mais de la vulgarité qu’elle engendre. La vulgarité est partout et elle provient du ruisseau là où se tient usuellement les palabres des céphalo-abstinents. Elle ne s’improvise pas, et l’ambassadrice de la Barbade n’y va pas avec le dos de la cuillère au « Super balls » ! Même, si elle est dépeinte au travers d’une femme enceinte, qui est la plus belle chose du monde, et vous aurez beau l’habiller en rouge sang aussi harmonieusement que possible avec la marque Loewe du seigneur des Arnault, vous ne pourrez pas la rendre moins immonde. Cachez ce geste, Madame, que je ne saurais voir.
Elle nous submerge, et elle est activée par des intelligences moyennes, qui, pour survivre de leurs turpitudes, transforment le vulgaire en fait de société. On n’est vulgaire, ou, on naît vulgaire ? De toute façon, c’est pour moi une infirmité de l’âme.
La « Fenti Girl », financée par le plus grand groupe de Luxe français, jette Homère aux latrines. Définitivement nous n’habitons pas sur la même planète, avec d’un côté ceux qui regardent les oiseaux et la splendeur du souffle magique de la nature, et les autres qui, à chaque seconde, diffusent sur nos écrans « cathodiques » la perversité emmenée à son comble. Et, nous, nous subissons ces vomissements et déjections canines pour cent millions de crétins de télé peu hygiénique.
La « came isole » de force, demandez à « pas mal », mais, il est vrai que l’on ne lui a jamais rien donné à la barbadienne, même pas son âge. Rien de pudibond dans ce texte, mais seulement une demande, d’un peu de maintien pour ceux qui ne peuvent pas comprendre cette attitude, et un peu de respect pour leurs croyances, car la liberté des uns s’arrêtent là où commence celle des autres. Rien n’est plus surréaliste que l’humain, et rien n’est plus surhumain que le réel.
FM