PATOU DANSE AVEC LES POULES

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Le haut des nouveaux paniers ne fait pas exception au ridicule qui a la propriété de faire venir d’en haut la foudre, et d’en bas, la lapidation. Apprendre à devenir insensible aux moches devient presque une habitude, et même avec la chimie des psychotropes, beaucoup de journalistes n’arrivent plus à exprimer leur envie de plume. Certains couturiers, perdus par leur « agence de pestes », ne savent plus rien du fonctionnement de leur usine à gaz, de cet accouplement chimérique qui produit en un seul animal le patrimoine génétique d’une limace et d’un PagesPaon.

Une nouvelle société se construit « avec des créateurs sans ambition» : qui sont nourris par des Agences de rien, d’anciens postulants à la couture refoulés par leur peu de talents, et c’est ainsi que ces pauvres bougres deviennent les laquais d’une couture d’envieux les empêchant de se sublimer.

Ainsi le sexe, grand pourvoyeur du métier de la mode prend le dessus, et reste la solution a un vertige de la réalité, que l’on masque à foison. Les incapables de ce métier ne sont qu’un « compte de faits » plutôt qu’un conte de fée, ce qui devrait être. Les horreurs quotidiennes s’avèrent plus forte que l’éveil, et la déchéance humaine est plus profonde encore que les abysses. Avec Henry, nous avons touché le fond, et même Suzy trouve cela moche, mais le dit avec tellement de subtilité que dans la langue de Shakespeare, les neurones peroxydés des faiseur de loi y verront un compliment. Il est vrai qu’ils travaillent beaucoup à se rendre voyant.

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