META VERGE
Les modeux, et en particulier, ceux de la génération Z passent, semble-t-il, plus de temps en ligne que les autres, et ainsi explorent les possibilités du métaverse. Voici ce que les acteurs de la mode et du luxe doivent savoir sur ce nouvel univers émergeant qui ne l’est pas vraiment.
Il y a beaucoup de supputations autour du métaverse, que l’on pourrait définir comme un environnement numérique hyper-interactif et créatif où les gens travaillent, jouent, se rencontrent et font des achats. Un concept qui existait déjà il y a 19 ans avec (Second Life) mais les concepts, toujours trop en avance, ne marchent jamais. En plus, à l’époque, les bandes passantes de l’internet étaient tellement faibles que cela empêchait le virtuel de fonctionner avec la fluidité demandée.
Ainsi, pour les marques, et plus largement pour l’industrie de la mode et du luxe, cet environnement virtuel pourrait bien offrir de nouvelles possibilités et ainsi faire basculer dans le luxe les générations futures. Ces jeunes consommateurs férus de technologie viendraient booster les perspectives de croissance du Seigneur et Consorts.
Et quel rôle les jetons non fongibles (NFT) joueront-ils dans le monde de la mode ? Espérons que les métaverses ne se transforment pas en « Meta Verge » car sur ce genre de réseau pullule usuellement des détraqués sexuels et autres individus prédateurs qui chassent en toute impunité et en toute discrétion les jeunes hommes et jeunes filles. Affaire à suivre…
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