VUITTON HAUSSE DE MÉPRIS
En février, Louis Vuitton augmente ses prix dans le monde entier, en raison de la hausse des coûts de fabrication, de transport et probablement, des augmentations de salaire à venir qu’il vient de refuser. L’Empereur de la toile ciré continue de tisser sa toile sur le métier à friquet, « et les amoureuses de la pierre l’appelleront mon cœur ».
Mais, comme la femme est un roseau dépensant, peu importe pour une des premières grandes marques du luxe à augmenter largement ses prix. Déjà que les classes moyennes ne pouvaient plus acheter un sac monogrammé, bientôt seuls les musées pourront acquérir des « mâles » Vuitton. Les Bimbos, elles, « influen-succeuses » ne craignent rien car elles continueront à recevoir comme salaire des verroteries qu’elles revendront sur internet, alimentant ainsi le marché parallèle du « second hand », que les marques commencent à organiser à leur profit, faisant croire qu’elles font de l’économie circulaire, une hausse de « Mes prix ».
Certains blogueurs Chinois qui ne décrivent pas la réalité, mais seulement le vertige de celle-ci, puceaux de la pensée, auraient affirmé que le prix de certains modèles de sacs à main tels que le « Capucines » augmenteraient de 20 % sur leur territoire. Le téléphone a sonné entre « SI GIT PINE » et le Seigneur, et ainsi tout est rentré dans l’ordre. Ils sont maintenant dans un camp de vacances, sorte de clinique pour céphalo-abstinents.
Tout au long de la pandémie, les entreprises du secteur du luxe ont profité de la hausse d’une demande, sans précédent, de mode et d’accessoires haut de gamme. Pour gérer la pénurie, le groupe vise sur, encore plus, de haut de gamme, et de l’ultra-luxe pour les ultra-riches. Une certaine distance envers les choses ; c’est bien la seule chose que les riches veulent bien que les pauvres gardent.
Anonymode