AUX BELLES POULES

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Passer les portes d’Aux Belles Poules, une ancienne maison de tolérance mythique de la capitale, est cette sublime promesse de revivre le Paris des années folles. Dans le secret de ses velours rouge, ce lupanar ( « Lupa » traduction italienne de la Louve, donc « lupanarde » la chambre des Louves) fermé en 1948, véritable bijou Art Déco classé Monument Historique, vient à nouveau d’ouvrir ses portes et en y organisant désormais des réceptions privées, tournages et visites-conférences sous la ceinture fascinantes, il parait que les « Dominique trop canne » se préparent à organiser une grande « fesse » pour le retour du « circoncis » de l’esprit. Belzébuth n’est peut-être finalement rien d’autre que le plus beau des zébus.

Grands miroirs, fresques en céramiques aux scènes suggestives, comme à Pompéi où des scènes du kamasoutra marquaient la clef pour retrouver votre casier, c’est au cœur de cet écrin coquin et au décor « époustou-émoussant » pour des évènements exceptionnels et débridés, coincés s’abstenir !

Préparez-vous au feu « d’artifesses » sensoriel ! Dès 19h30, les festivités commencent ainsi que la ripaille ! Soupe de roche parfumée à la fleur d’oranger, rôti de bœuf et son jus de « baisage » pardon « braisage » ou Falafel de pois chiches (pour les petites mites), amuse-bouches sucrés 100% choc mais à prendre sous la table… L’émoi promet d’être au rendez-vous dans l’assiette et dans votre slip, mais dans la Gaule, cela ne m’étonne pas. Avec un spectacle hilarant en dix tableaux qui s’offrira à vous, moi je dis oui, mais aux prudes et coincés de l’arrière-train « sifflera trois fois », passez votre chemin et pour vous je ne vois plus qu’une seule chose, le Couvent des Oiseaux.

Anonymode

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