LE COURRIER DES LECTEURS DÉCEMBRE
Monsieur, vous avez abîmé notre influenceuse préférée sans la connaître, vous êtes méprisable.
DL
Réponse du courrier des Lecteurs.
Chère Madame ou cher Monsieur,
Cette « Ferragni » n’était pas une influenceuse, mais seulement une bourriche d’huîtres avec des produits contaminés. Vous n’êtes pas honnête homme de défendre ce crapaud de pissotière ! Car vous défendez une glorieuse canaille. Ce serait un bonheur pour le pays de la botte, que j’aime tant, de la disparition de cet antre de la sottise servile, pédantisme hypocrite, lâche et féroce, sorte de conservatoire cruel et ridicule de vanité internationale.
Elle qui ne pense toujours qu’à l’argent dont elle a besoin. Elle accomplit ce métier d’influenceuse bimbo superbe, en pondeuse d’idées des autres pour des cadeaux de verroterie. Comme une menuisière, qui ferait des tables, avec la pensée constante de l’argent qu’elle va gagner. Et nous, nous ne trouvons là, en face de son large besoin d’indépendance, qu’un vil instinct de ménagère polenta très marqué.
Elle a cette sérénité de ces animaux ruminants dont les yeux pacifiques semblent refléter l’immensité de la bêtise. Elle est bête et lourde dans ses idées morales qui ont la même profondeur de jugement et la même délicatesse de sentiments que les filles entretenues de la fange.
Souffrez, Monsieur, qu’on puisse ne pas aimer cette bête enragée, qui, par ses turpitudes, amasse l’argent comme d’autres amasseraient les sentiments. La dignité appartient à celui qui se satisfait de ce qu’il a, et la misère à celui dont l’avidité est insatiable.
FM