LE SAVIEZ-VOUS ?
Le candaulisme est une pratique que peu de gens connaissent par cette dénomination. Tout le monde s’imagine toujours que leur vie sexuelle leur est réservée, et que leur pratique leur est propre. Mais, en fait, cette expérience sexuelle dans laquelle une personne ressent une excitation en exposant ou partageant son conjoint avec une ou plusieurs personnes se nomme, le candaulisme. Pratique qui ne me branche pas personnellement, car moi, je ne suis pas prêteur, c’est là mon moindre défaut.
Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une ou plusieurs personnes, devant le regard consentant du partenaire de celle-ci, comme chez Denise autrefois, rue Quincampoix ou le Cléopâtra. Les connaisseurs de mon âge apprécieront.
Pratique opposée au cuckolding (« cocufiage ») ou cuckold (« cocu »), termes dérivés de cuckoo, en français coucou. Vous savez, cet oiseau qui pond ses œufs dans le nid des autres. Vous venez de comprendre maintenant d’où vient le mot cocu. Le fait pour un mari de confier sa femme à un amant connu, sans pour autant assister à leurs ébats, est connu sous le nom de principe du Sigisbée. Mais cela, c’est une autre histoire. A ne pas confondre avec le procès en cours de Dominique Pélicot, les échangistes sont toujours consentants.
FM