LE COURRIER DES LECTEURS
Les huiles, cher Monsieur, ne sont pas essentielles, et pour vos magazines c’est pareil. Vous n’aurez bientôt plus la possibilité d’utiliser « Paris Fashion Week » pour vos copains, et vous disparaîtrez par décision d’un Chef de Cabinet.
Pascal M.
Réponse du courrier des lecteurs
Voici donc un tringlot de la mode, et il est impossible de rencontrer un être plus incapable d’exprimer un semblant d’idée, ou d’articuler un seul traître mot sur quoi que ce soit, en dehors de son éternelle préoccupation de son entrejambe, ou de diriger sa maison à la « Putin ».
La parfaite stupidité de ce jouisseur est surtout de manifester par des yeux de vaches ahuries ou de chiens qui pissent, à demi-noyés sous la paupière supérieure et qui vous regardent avec cette impertinence idiote que ne paierait pas un million de cliques.
Vous voulez vous approprier la mode, certes, je suis d’accord. Faites, Monsieur, mais sachez que vous ne pourrez jamais privatiser le talent. Et, pour le chef de cabinet du Roi, il est, et restera, toujours un étron royal.
FM