UKRAINIENNES JE VOUS AIME

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La femme Ukrainienne a un standard de Beauté et de Féminité mondialement reconnu. Nulle part dans le monde, on ne peut trouver autant de jolies femmes intelligentes réunies dans une seule zone géographique. Leurs yeux polis sont faits de minéraux charmants, et dans cette nature, les anges se mêlent au sphinx antique.

Ce petit matin-là, je regardais dans le flou des vapeurs d’alcools un corps dont les jambes n’en finissaient pas, se terminant sur une colline d’une rondeur parfaite. Je remonte les yeux de mon sommeil éthylique par le chemin qui passe par « L’Origine du Monde », j’aperçois sous les draps les plus beaux seins lourds de la terre d’une jeune fille d’à peine 20 ans. Lorsque ma main écrit, c’est le cœur qui s’étend, se découvre et respire comme un pèlerin sur le sommet de l’Himalaya, et peu à peu une distance se creuse entre l’abîme de mes pensées et ce formidable objet de luxure.

Elle sortie du lit et enfila son peignoir, ses seins lourds rebondissent sous le tissu éponge laissant imaginer sa structure. Je regarde cette belle Dulcinée du Toboso marcher, les cheveux en bataille, le tissu de soie transparent affleurant à peine le dessus de son mollet qui laisse découvrir son corps sublime, j’entends la douche vrombir. Alors, j’ouvre délicatement la porte pour sortir de l’appartement et j’entends une petite voix douce comme la crème d’un Paris-Brest qui me dit : “Tu m’appelles ? » Il y a eu, à ce moment-là, un long silence, probablement plus long que la construction de l’univers après le Big Bang. Je finis par lancer : “oui, bien sûr”. Je ne suis jamais revenu, probablement par peur d’avoir à affronter la perfection.

Malgré les années, aujourd’hui, je pense à elle sur le sentier rude de la guerre, elle, qui était le dévouement même. Superbe maîtresse qui puise l’espoir dans la foule de ses compatriotes, et sous les bombes s’écoulent le cœur de son labeur de don et d’abnégation. Elle pleure pourtant, parce qu’elle a vécu cette invasion ! Mais, aujourd’hui, ce qu’elle déplore surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux, c’est que demain, il faudra vivre encore ! Je pense à toi ma Dulcinée du Toboso.

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